Synopsis
En Belgique, l’article 9ter de la loi du 15 décembre 1980 autorise une personne étrangère à demander un titre de séjour, si elle souffre d’une maladie entraînant un risque réel pour sa vie. Pour beaucoup de personnes sans-papiers, cet article est la seule solution pour accéder à un statut légal. A Bruxelles, en mars 2009, plus de 1000 personnes décident d’entamer une grève de la faim pour rentrer dans les conditions de cet article. Au sein de l’occupation de l’université Saint-Louis, les 60 occupants hésitent à franchir ce cap. Ce film nous emmène à la rencontre d’hommes et de femmes qui sont confrontés à ce choix : mettre ou non leur vie en danger pour obtenir des papiers.
En Belgique, l’article 9ter de la loi du 15 décembre 1980 autorise une personne étrangère à demander un titre de séjour, si elle souffre d’une maladie entraînant un risque réel pour sa vie. Pour beaucoup de personnes sans-papiers, cet article est la seule solution pour accéder à un statut légal. A Bruxelles, en mars 2009, plus de 1000 personnes décident d’entamer une grève de la faim pour rentrer dans les conditions de cet article. Au sein de l’occupation de l’université Saint-Louis, les 60 occupants hésitent à franchir ce cap. Ce film nous emmène à la rencontre d’hommes et de femmes qui sont confrontés à ce choix : mettre ou non leur vie en danger pour obtenir des papiers.
Prix en festivals
1er prix du long métrage documentaire au Faito Doc Festival (Italie)
1er prix du jury au Mediterraneo Video Festival à Agropoli (Italie).
1er prix du long métrage documentaire au Faito Doc Festival (Italie)
1er prix du jury au Mediterraneo Video Festival à Agropoli (Italie).
Commentaire du jury du Medfest :
Le jury a décidé de décerner le prix MEDITERRANEO VIDEO FESTIVAL 2011 au film documentaire 9 TER, pour son souci d’exhaustivité narrative qui permet de rendre avec justesse et précision l’urgence des impératifs de l’auto-détermination des sans-papiers, dans le nécessaire vis-à-vis entre la loi et la force d’une lutte partagée. Les cinéastes montrent une grande proximité avec les personnages, sans instrumentalisation ni raccourcis idéologiques, et sans livrer de faciles récits pathétiques.